Résumé : Robert Goolrick a développé un lien si fort avec ses lecteurs français qu’il a décidé d’écrire une nouvelle pour eux, rien que pour eux. Comme tout ce qu’écrit Goolrick, elle nous dit quelque chose de l’enfance. Et comme tout ce qu’il écrit, elle touchera chacun de vous au cœur. Nous l’avons trouvé si belle que nous avons décidé de lui offrir un écrin et d’en confier la couverture et les illustrations à l’artiste Jean-François Martin. La voici, grâce à lui, enjolivée. Par ce matin givré de février, mon entrevue avec la mort fut à peine remarquée, et ses rebondissements secrets ne devaient m’apparaître que des décennies plus tard. Or j’imagine que c’est précisément ce qui nous intéresse ici, si vous êtes prêts à traverser d’abord l’hiver glacial de mon anecdote bucolique. Les rebondissements, donc. Un rebondissement, pour être précis, aussi scintillant que l’enjoliveur de la Buick 1943 de ma grand-mère.
Un mot tout d'abord sur l'objet-livre, très soigné : une nouvelle de 68 pages, un tout petit format, du papier de haute qualité et des illustrations en couleur d'objets du quotidien des années 1950 (la colle Duco, une Buick, le Times ou encore des bonbons Wint-O-Green) ; le tout lui conférant un look délicieusement vintage.
En bref, petit mais costaud !
Ma note :
D'autres avis : 18/20 pour Stemilou ICI, bon mais un peu court pour Antigone ICI, une gourmandise à savourer pour Stoufnie ICI et un délicieux moment de lecture pour Noukette ICI.
Noukette 23/08/2016 09:08
Cassandre 31/07/2016 21:06
Jacqueline 31/07/2016 09:31
Scarlett Julie 30/07/2016 21:22
LaFée 30/07/2016 10:08